L'obscurité broie du noir. | Pandore - Terrana |

Quand la toute la cruauté canine et tout l'égoïsme est vulgairement transmit, génétiquement sans doute, dans la descendance donc de toute une famille, haute placée dans la chaine allimentaire contrairement au reste de leur race, ça donne en bref un loup, entre la schyzophrénie et la paranoïa. Une sorte de bête assoifée de sang, à la limite de l'idiotie, icontrolable, fonçant tête baissé et quitte à laisser place à l'innimaginable, immortel peut-être. En autres thèrmes, encore plus compréhensibles encore, cela donnerait tout le contraire de Tulylame. Et des contraires de ce loup, il en existe sans nul doute beaucoup. C'était un loup qui pourrait presque être banal. Il n'était ni descedant d'une famille renommée, ni fils de criminel, ni même abandonné par ses parents qui eux sont d'ailleurs en vie sans doute, il ne possedait pas un Q.I minime, mais ce n'était pas non plus un surdoué. Il était annalysateur, sans être vicieux ni même acerbe ou plus egoïste que les autres. On pourrait certainement écrire une cinquentaine de phrase pour décrire totalement son caractère tellement complexe à comprendre. Il était si mystérieux qu'on en aurait presque envie de le connaitre plus, lui et son regard de braise. Lui, Tulylame, loup grand, musclé, et sans aucun doute charmant, certaines louves en témoigne plainement grace à leurs langues pendantes sur le côtés de leur gueule lorsque ce loup mystérieux leur passe sous le nez, ou devrais-je dire la truffe, mais ne commençont pas dès maintenant à jouer sur les mots.

J'étais bien là, en tant qu'atôme si l'on me compare à la galaxie, une minime poussière de la Terre, un banal loup sans doute sur SecretWolf. Et si l'on me juge selon mon entourage, que suis-je ? Un ami, une bonne connaissance peut-être, ou simplement une personne de plus sur une liste immaginaire, qui sait. Et puis, amis ou ennemis, la vision qu'ont les gens sur les autres changent selon les taux d'amitié, ou alors de haine. Mais, je m'égare, tout comme je le fais si souvent lors de mes pensées. Quoique, peut-être n'est-ce pas plus mal , car ainsi mes conversations dans mes pensées étaient plutot riches, quoique peu instructif certe, au moins ça me divertissait durant mes instants de solitude. Certe, la solitude n'était que de la solitude, ce n'était pas la mort ni même un crime, mais ça me titillait tout pariculièrement les neuronnes. Personne avec qui converser, personne à examiner, personne à combattre, ni même aucune anatomie canine à observer avec un interret profond. Tout le tapage de mes pattes évitants le sol obscur fesait s'envoler les oiseaux de leurs branches marronées et ridées, leurs courtes ailes bleutées broyaient alors le silence qui commençait à ce faire pesant sur ma conscience. Rien d'autres que mes pensées qui s'entrochoquaient violement dans ma tête, comme des boulets de canons qui se seraient malencontresement croisés dans leur quête contre une coque ou une voila à briser. Je m'égare de nouveau, me diriez vous.

Je m'étais eveiller, tout en pleur, tout sen sueur, à cause d'un cauchemard. Les arbres, les feuilles, leurs branches épaisses et tordues m'effrayaient, à cause de l'obscurité trop intense. Je souffrais, non pas physiquement mais moralement. Trop d'ombres, trop de ténèbres envahissaient mon esprit perturbé. La profondeur de mon esprit faisait de lui un creux plus vulnérable qu'il pourrait n'y parraitre. Des gouttes de sueur froide dégoulinaient de mon front tout humide. C'était comme une sensation de maladie, mais ma santée n'était pas touchée. Il fallait que je me lève, que je retrouve un endroit lumineux. Parfois, je me demandais comment je faisais pour survivre à la nuit cette nuit si obscure et si sombre. Commentt ne pas mourrir durant la nuit ? J'gnorais si la sorte de phobie que j'avais portait un nom particulier, mais en tout cas, c'était surement pire que toutes ces nouilles molles qui ce disent paraskévidékatriaphobes pour faire leur Mr Nombril-Du-Monde. Non, moi, c'était presque maladif, pas volontaire, loin de là. C'était une sorte de ... Non, ce n'était rien, c'était une connerie née, rien d'autre qu'une connerie née ... Un truc totalement inutile, fait dans le seul et unique but de détruire une majeure partie d ema vie, entre autre.

Alors je m'étais levé, dans la crainte de redevoir pénetrer dans la pénombre infamne et cruelle. Le soleil commençait à peine à se lever, se démarquant peu à peu au dessus de la masse verdatre que créait la forêt. Forêt dans laquel je m'étais aventurer par inadvertence sans doute. Enfin, peut importe, tout ce que je demandais c'était de la luminausité, de l'eau et de la bouffe, rien de plus. Enfin, biensure, si une grace peut m'ettre accordée c'est celle de me permettre d'observer l'anatomie lupine, ça va de soit. Enfin, n'en demandons pas plus qu'il n'en faut pour être satisfait sans être gaté. J'avançais, je ne sais trop vers quel endroit, mais j'avançais. Le décor de ce lieu changeait alors que j'avançais ... Assez particulier en fait, mais peu importe une fois de plus. Quoique ce fut fort intriguant, je le reconnais. Mais, comme personne n'est jamais réelement seul sur ses terres, un bruit survint, de devant, derrière, ou ses mes cotés je n'en savait à vrai dire trop rien, enfin bref, une branche avait craquée sans que j'en sache le pourquoi du comment. Mes oreilles devinrent alors droites sur ma tête, attentives à toute forme sonore, et ma truffe humais l'air, à l'affut cette fois de toute chose sonore.

Je restais sans bouger. Je venais de marcher sur une branche. Le loup que je suivais ce retourna. Quand on y repense, je me demande bien POURQUOI je l'ai suivit. Peut-être par simple curiosité. Mais je ne suis pas très curieuse pourtant. Non, je crois que c'est parce'que je l'ai vu. Je l'ai vu effrayer par quelque chose, sous un arbre. C'est vrai qu'il faisait sombre. Je voulais sans doute seulement l'aider. Non, pas sans doute, ni seulement, ni encore voulais. Je devais l'aider. Il ne bougeait pas. Je me demandais si j'avais bien fait.

Je sursautais. La forêt changa d'aspect. Elle était sombre il y a à peine 2 minutes, que maintenant elle est innondée de lumière. On se croirait au printemps. Des fleurs tapissaient le sol. Les arbres aussi. Je me délectais de cette vision magnifique de la forêt quand je me rendis compte de ce que je faisais là. Le loup. Il n'avait toujours pas bougé. Et je le voyais parfaitement maintenant. Parfaitement...

Il était magnifique. Je n'ai jamais été vraiment amoureuse. De toute façon, qui pourrait tomber amoureuse d'un illustre inconu? Mais je le trouvais quand même beau. L'attente à ce qu'il se retourne fut longue. Très longue. Mais je patientais. Comme toujours...

Invité

Je voulais de nouveau retourner dans la forêt changeante, pourquoi je ne sais pas. Peut être pour voir plain de paysage ou pour simplement me promener dans différant endroit qui change très vite. Je marchais donc vers la forêt changeante qui était dans les terres du clan Air, j’étais presque arrivé devant la forêt, bon elle était quand même a quelques mètre de moi mais sans plus. Quand j’arriva devant celle –ci elle était toute enneiger, il y avait de la neige partout du sol jusqu'à la pointe des arbres. C’était plutôt joli une forêt plaine de neige, c’était même trop joli pour moi, les terres de Feu son beaucoup mieux que ces terre, au moins dans les terres du clan Feu il y avait des dangers. En même temps ont préfère toujours se qu’on a que sa qu’on les autres.

Je commença a rentrer dans cette forêt, ma patte s’enfonçait déjà un peut dans la neige, c’était froid, très froid mais je mis quand même mon autre pattes et ainsi de suite, a force je commençais a m’habituer a se froid, plus j’avançais plus mon corps s’enfonçais dans cette neige. C’était de plus en plus dur d’avancer alors je m’arrêta un peut et je vis des traces de pas dans la neige, un loup ou des loups avait du passer par la. Je me remis à marcher en suivant les trace de pas qui était inscrit sur le sol de neige, mais la neige commençais de plus en plus a fondre et donc les trace de pas avec. Je commença à courir le plus vite possible n suivant ces trace. Pourquoi je les suivais ? J’en avais aucun idée peut être parce que je voulais voir comment était fait le loup qui était rentrer dans cette forêt ou peut être que c’est parce que j’ai envie de tuer, à vrai dire j’en sais rien du tout, je les suivais et c’est tout.

Après quelques minutes le sol de neige n’était plus la maintenant c’était un sol sec et une forêt sec qui était le, je ne voyais plus aucune trace de pas. Je continua ma route sans les trace de pas, apres un petit moment la forêt avait encore changer maintenant elle est inondée de lumière. On se croirait au printemps. Des fleurs tapissaient le sol. Les arbres aussi les papillons volait les oiseaux chantait … Au loin je voyait 2 loup mais j’étais vraiment très loin alors je ne pouvait pas trop s’avoir si je les avait déjà rencontrer et tout, je me dirigea vers eux sans qu’il me voyant on peut dire que je les espionner un peut, arriver a quelque mètre d’eux je me cacha derrière un gros buisson et je les regardais grâce au trou que le buisson avait. Il y avait une louve marron et vers et un loup marron et noir, enfin des couleurs assez foncé quoi.

Le loup présent en ces bois, car seule cette bête avait été dotée de tels oreilles et d'une truffe si disgracieuse, fixait attentivement son entourrage, sans y voir quelconque annormalité. Et pourtant, dans les environs de son champs de vu se trouvait une louve, indiscrète espionne cachant sa masse lourde et sombre parmit les branches et les feuilles des buissons. Tandis que dans son dos se trouvait, encore moins discrète que l'autre, une louve, beaucoup moins haute que lui, plus proche et pourtant plus discrète que l'autre, la vipère d'ébène camouflée dans la végétation.

Corps attentif, froid, frissonant de satisfaction et du stress d'être observé. Un corps que je ne semblait plus controler, comme s'il avait choisit de ne plus m'écouter et d'agir dans sa pure volonté. Soit, grand bien lui fasse, il recouvrera bien raison. Je me sentais épié, observé de toute part, de haut en bas, tout membre de mon anatomie semblait y passer. Au plus loin les yeux de la race lupine le pouvait. J'avais envie de me retourner, voir à quoi ressemblait la bête qui m'observait, simple curiosité, simple information, savoir son nom, son pouvoir, tout cela attira mon regard vers le sien, en une simple rotation de mon encolure.

Ses yeux étaient semblables à des pierres émeraudées, brillants comme des cristaux précieux dans leur sombres orbites, crispés par ses sourcils marrons légèrement en courbe sur ces pierres précieuses. Des marquages de vert foncé décorant son dos et quelques autres parties de son corps canin. Son pellage portait gracieusement les couleurs de la nature, donnant à son corps élégant et féminin une grace plus elevée, visiblement une louve du clan de la Terre, car seuls ces loups s'apparentaient autant à la nature. De plus, son nom, Terrana, n'y mentait pas, il n'y avait plus aucun doute dans mon esprit, sans que son pouvoir de controler la végétation naturel ne vienne m'y assuré encore plus.

Mais il n'y avait pas que cette louve, Terrana, qui m'observait. Une autre présence, un autre loup, une autre bête en somme, m'observait. Je sentais autre chose, mon flaire humant l'air dissgracieusement s'en était rendu compte. Une odeur de sueur, le bruit sourd de griffes raclant rageusement le sol. Une bête qui de plus était quelque peu indiscrète, car un bruit de buisson de secouant légèrement avait plusieur fois atteint mes oreilles. Quel espion bien idiot que l'espion ne sachant pas se cacher convenablement. Encore faudrait-il que je trouve les yeux de ce ditt espion, ou espionne que sais-je, pour que je puisse savoir son nom, son pouvoir ... L'espion finira bien par sortir de sa cachette. Tôt. Ou tard ... Mais ce dit espion ne me disait rien de bon, son odeur de sueur, une cruauté apparente, enfin, une odeur particulièrement irritante.

<< - Ne sens-tu pas, cette odeur, cette vipère nous épians, douce Terrana ? >>

Lui dis-je dans un murmure discrèt, tandis que je sentais encore les yeux de la bête nous observer. Quelques pas dans la dirrection de cette louve du clan de la Terre m'avait permit à ce que la bête ne l'entende surement pas, ou alors une simple susurration bénine, rien de bien audible. Dans un murmure encore plus doux et calme, je prononça mon nom à cette louve, qui était largement inférieure à ma taille.

<< - Tulylame ... >>

Je fus surprise quand le loup que je suivais se retourna. C'est bien ce que je pensais. Il était beau comme un dieu. Son visage fin, un brin charmeur, encadré par deux
mèches aux pointes rouge. Il y en avait une de chaque côtés. Il avait quelque "mèches rebelles" sur la tête, les poils en bataille. La fourrure du reste du corps était
noir et grise. A l'une de ses pattes, était accroché un bout de tissu rouge, que je ne peux qualifier par un mot. Il semblait avoir sentit quelque chose d'autre. Je me
demandais bien ce que ça pouvait être.

<< - Ne sens-tu pas, cette odeur, cette vipère nous épians, douce Terrana ? >>

Je fus assez surprise qu'il sache mon nom. Peut-être me connaît-il, ou alors c'est un pouvoir... Je n'en sais rien, mais cela ne m'interresse guère. Je compris qu'il y
avait quelque chose, ou bien quelqu'un qui nous épiait. Je regardais de tous les côtés, cherchant en vain ce qu'il avait bien put détecter. Mais rien. Quand à l'odeur...
Il avait raison. Il y avait quelque chose d'anormal. Cette odeur ne me plaît pas. C'est l'odeur d'un loup, qui semble cruel, sanguinaire et surtout sans pitié. Je
commençais à avoir un peu peur. Peur que ce soit un loup du Clan de Feu. J'ai toujours eu peur de ces loups. Cela provient de mon enfance. Je savais déjà assez bien
contrôler la végétation, qu'un loup est venu et à détruit une bonne partie de la forêt... Il l'avait brûlé. Ce n'avait été qu'un tas de cendre. C'est de là que ma
phobie est née.

<< - Tulylame ... >>

Pronnonça-t-il dans un murmure. Un murmure doux et calme, sûr de lui. Il était bien plus grand que moi. Mais je n'avais pas peur de lui. Son nom est magnifique. Tulylame...

<< - Un loup... du clan Feu. Nous devons partir >>

Avais-je déclaré d'une voix posée. Je m'avançais près de lui. Il n'y avait plus qu'un mètre de distance qui nous séparait. Je me retournais alors, et regardais les
environs. Je regardais chaque détails, susceptible de m'apprendre la cachette de cet espion. Je voyais des buissons, des fleurs recouvrant le sol, des arbres fleuris...
Mais pas de loup. Un son me parvient alors. Un son familié et proche. Le bruit d'une abeille. Je cherchais la source de ce son, et voyais un abeille tourner autour d'un
buisson...

Je retenais un cri de surprise. Le buisson venait de bouger! Je fis un pas en arrière, toujours en fixant le buisson qui cachait peut-être ma mort...

| Allez, allez .... Up les gens s'iouplait ... |

[c'est à Pandore de répondre >.< ]

| Oui ... Pandore 'Teu Plaît viens TT |

» Elle est la, elle est plus la... [PV Pandore]
» Un RP avec Tata Terrana?! ;)
» - Pandore ' s Rp -
» Pandore [ Femelle ] [V]
» Le silence règne ... [PV Pandore]